J’ai une idée ! Oui c’est vrai, ça m’arrive ! Après des heures passées à éplucher le sondage que je vous avais proposé il y a quelques mois, j’ai eu une idée ! …Mais avant de me lancer dans la création, je veux être sûr que cela vous plaise et corresponde le mieux à vos attentes. Je vous explique donc mon idée dans cet article pour avoir votre avis ! Je compte sur vous !
Mon idée …La danse du salon?
Vous êtes nombreux chaque semaine à m’envoyer des emails pour me présenter votre Dadou, me communiquer vos problèmes et vos réussites…Et surtout, continuez !
Vous ne pouvez pas savoir l’effet que ça me fait !
Je lisais l’autre fois un article d’une copine de blog qui expliquait qu’elle faisait une danse dans son salon à chaque fois qu’elle recevait un commentaire ! Et je suis complètement d’accord avec elle !
Malgré que vous soyez toujours de plus en plus nombreux à lire le blog, et à télécharger mon livre “Travail à pied, 10 exercices pour devenir complices” (1363 exactement), je tiens à répondre à tous les mails, et je finis toujours par le
faire, même si je prends du temps pour le faire. Parce que je veux avant tout vous aider à progresser avec votre cheval.
Vos petits messages
Allez, je ne résiste pas à vous partager quelques uns de ces petits messages :
- Intéressant, Je ne savais pas qu’une chambrière se plaçait vers l’épaule. Je vais tenter de travailler ça. Clélia
- Bonjour, J’ai bien reçu votre email et donc j’ai aussi regardé votre vidéo. Cet exercice a été le premier exercice que j’ai fait avec mon cheval et maintenant je n’ai même plus besoin de la longe il me suis partout. Je trouve aussi que c’est un bon exercice parce qu’il pose aussi des bases pour la voix et mon cheval travaille essentiellement avec ces codes. Et ça crée un vrai lien entre nous et notre cheval, quand on réussit à l’avoir obéissant sans avoir même besoin de le tenir c’est vraiment génial. En tout cas merci de vos conseils et de prendre le temps de faire des petites vidéos pour nous aider c’est très gentil. Cassandre.
- Bonjour Aurélie. Pour vous dire que j’ai bien vu les 3 premiers vidéos, qui sont vraiment super ! très claire et très bien expliqués. je suis débutante de 44 ans avec les chevaux ! et vos explications sont d’une aide précieuse ! et m’aident énormément ! merci Sandrine
- Bonjour oui j’ai vu vos exercices et je suis au niveau 3 tout c bien passé ma pouliche apprend très vite.
Merci pour toute ces vidéos. ca m’a appris beaucoup de choses que j’essaie de mettre en pratique.
Je vous met une photo de ma dadou. Aurélie
Je me suis fait un petit dossier sur mon ordi “vos supers commentaires” et je les relis quand j’ai parfois un petit coup de mou ! Car vous vous en doutez, publier un article et une vidéo par semaine en travaillant à plein temps sur mon centre équestre, c’est un vrai pari !
Votre avis !
C’est à vous de parler…
C’est donc au mois de juillet dernier que je vous ai envoyé un petit sondage pour savoir :
- Quel cavalier êtres-vous ?
- Quelles sont vos motivations ?
- Quel est votre plus gros problème en équitation ?
Vous avez été 87 à répondre à ce sondage. Alors tout d’abord, je voulais vous dire MERCI !!
On a tous nos boîtes emails saturées, plus par du spam que par du contenu intéressant d’ailleurs. On a des plannings à rallonge et peu de temps à consacrer à nos hobbies. Et pourtant, 87 d’entre vous ont pris la peine de répondre à mon sondage.
Là, je peux vous dire que ce n’était pas une petite danse dans mon salon, mais carrément un concert !!
Où êtes-vous ?
Lorsque j’ai commencé à décortiquer les réponses, la première chose qui m’a frappé…C’est votre position géographique !!
Je vis dans un petit village de Normandie de moins de 300 habitants, sans commerces et avec une connexion internet complètement pourrie, voire même inexistante certains jours (Allez, j’en profite pour faire un petit coucou à mon opérateur internet chéri Orange). Dans ma tête, vous étiez aussi en Normandie, peut-être même en Bretagne ou en région Parisienne, et allez soyons fou, carrément dans le sud de la France ! Et j’ai découvert que même si beaucoup d’entre-vous vivent en France, j’ai reçu des réponses du Canada, du Mexique, d’Israël, d’Algérie, du Maroc, de Suisse, d’Allemagne, de Québec, de Belgique… Waouh !
Après avoir couru voir mon mari pour lui dire tout ça en sautant sur place comme une petite fille et appelé mes copines en leur disant “ tu te rends compte !”, je me suis remise à mon ordinateur.
Vous avez un problème ?
Et là j’ai encore été frappée : Vous vivez quasiment tous (toutes en vérité car il y a un plus gros pourcentage de femmes) les même problèmes avec votre cheval ! Et le pire du pire, c’est que ces problèmes, je les ai rencontrés aussi ! Vous n’imaginez pas le flash back que ça m’a fait. (Je vous raconte tout ça dans le paragraphe ci-dessous)
Le problème est que lorsqu’on est propriétaire d’un cheval, on travaille seul la plupart du temps. Peu d’entre nous ont les moyens de prendre un coach particulier plusieurs fois dans la semaine pour nous aider à progresser. Sauf que monter seul, c’est très difficile. Déjà parce qu’on n’a pas de regard extérieur pour nous dire si ce que nous faisons est correct. Et surtout, parce qu’on ne sait pas quoi travailler, ni comment, à quel rythme, avec quel objectif.
Du coup, et je souris en écrivant ceci, on bidouille des trucs !
Bidouille bidouille
Sauf qu’à force de bidouiller des trucs, on se rend compte qu’on ne progresse pas vraiment. Du coup, et c’est vraiment là que c’est difficile d’être seul, on se démotive. Et il y a de quoi ! Car nous avons un loisir d’extérieur, et il faut reconnaître que ça n’est pas très encourageant d’aller bidouiller des trucs dans le vent, sous la pluie et le froid dans 15 centimètres de boue !
Et comme on est humain, on a du mal à se dire qu’en fait bidouiller des trucs, ça sert à rien. Alors on se trouve des excuses. On manque de temps, avec le boulot, les enfants, le ménage… Il ne fait pas beau, j’ai peur que mon cheval prenne froid… Il faut que j’aille dîner chez ma belle-mère ! Vous voyez un peu le genre d’excuses à deux balles. (Allez, je fais quand même un petit coucou à ma belle-mère…mais Dimanche j’peux pas, j’ai poney…)
La spirale
On rentre alors dans ce que j’ai appelé le problème de la spirale :
Moins on sort notre cheval, plus il est chaud et difficile. Et plus il est difficile, plus il nous fait peur. Et comme la peur nous bloque, nous sortons notre cheval encore moins souvent. Au final, ça nous rend triste et surtout ça nous apporte énormément de culpabilité et de frustration !
Je me suis tellement reconnu dans certains de vos témoignages, sur la culpabilité notamment, que ça m’a donné les larmes aux yeux.
Mon idée : bonne ou mauvaise nouvelle ?
J’ai donc une bonne et un mauvaise pour vous. Bon on fait quoi, on commence par la bonne ?
La bonne nouvelle
La bonne nouvelle, c’est que j’ai sauté sur mes feuilles de brouillon et mon crayons à papier (oui mon je sais, c’est un peu vieillot, mais je n’arrive pas à organiser mes idées sur un écran) et j’ai travaillé des heures de suite sur un plan de formation pour vous aider à sortir de ce cercle infernal.
La mauvaise nouvelle
La mauvaise nouvelle, c’est que pour vraiment vous accompagner sur le travail de votre cheval et progresser ensemble, il faut avoir une progression sur plusieurs mois. Vous savez comme moi qu’en équitation, rien ne se fait en trois jours. Il faut du temps, de la persévérance, de la répétition …de la rigueur quoi !
Vous êtes d’ailleurs 75,9% à avoir répondu souhaiter des cours mensuels.
Et vous êtes 95,4 % a souhaiter recevoir ses cours sur format vidéo.
Et je suis bien d’accord avec vous. C’est d’ailleurs pour cela que j’ai crée une série de vidéos pour illustrer les exercices de mon livre. Car rien ne vaut l’image pour réellement comprendre un exercice en équitation.
Donc vous l’avez compris, faire le plan de la formation, tourner les vidéos d’exercices avec leur PDF associé (pour être sûr que vous bossiez derrière), faire les montages et m’organiser pour vous les envoyer semaines après semaines, c’est super excitant, mais c’est aussi super long. Ca va me demander des mois de travail !!!
Un flash-back de malade
Comme je vous le disais un peu plus haut, tous vos témoignages m’ont fait vivre un flash back de malade ! Et comme certains d’entre vous m’ont dit qu’ils aimaient bien mes anecdotes (et comme j’aime bien raconter ma vie) je ne résiste pas à vous le raconter.
Je me suis revue lorsque j’avais 23 ans. (Qui a dit ça fait un bail ?)
Je sortais de mon monitorat d’équitation (BPJPES Activités Equestres mention Tourisme Equestre). C’était en juin 2005. A la fin de cette formation d’un an, nos formateurs nous ont proposé un petit défi. Plutôt que de passer le galop 7 avec les chevaux de formation, ils nous ont proposé d’acheter un jeune cheval fraichement débourré et de venir passer notre Galop 7 dans un an avec lui.
Cap ou pas cap ?
J’aime assez les défis et je m’étais donc lancé dans l’aventure. Après avoir reçu mon diplôme de monitrice, j’ai acheté mon tout premier cheval (mon Dadou à moi toute seule !!! Le rêve devient réalité) : un jeune cheval de 4 ans, prénommé Luis. C’était un Ibérique croisé avec un Barbe, à peine débourré.
A cette époque, j’avais trouvé un petit boulot alimentaire, j’étais serveuse en boulangerie. Cela tombait bien car je travaillais très tôt le matin et après une petite sieste, j’avais tous mes fins d’après-midi de libres pour travailler mon cheval. L’idéal !
Euh…pas cap !
Mais très vite ça a été la désillusion. Je ne savais par où commencer ! Je ne savais pas quoi travailler, ni comment, dans que ordre. Et comme je travaillais seule, je ne savais pas si mes exercices étaient bien réalisés.
Et chaque jour, je vivais exactement la même chose.
Je préparais mon cheval, j’arrivais dans ma petite carrière aménagée pour l’occasion dans un petit bout de terrain. Je trottais mon cheval aux deux mains pour l’échauffer….Et après et bien, je bidouillais des trucs !
Par exemple, j’essayais de faire des belles voltes, avec un cheval bien incurvé… Mais ça ne marchais pas…Alors, j’essayais de travailler mes départs au galop, mais mon cheval accélérait le trot jusqu’à tomber bon an mal an dans un mauvais galop. Alors je me disais, « ah oui, je sais, je vais plutôt travailler son équilibre sur des barres au sol » mais le temps d’installer tout un dispositif avec les moyens du bord, je n’avais pas le temps de réaliser l’exercice correctement !
Je terminais donc ma séance en ayant bidouillé pleins de trucs mais en n’ayant rien de vraiment accompli.
Vous vous en doutez, j’éprouvais énormément de frustration et même de colère. Je me disais « ça sert à rien d’avoir dépensé tant d’argent dans une formation de monitrice pour n’être même pas capable de travailler un cheval correctement !».
Je me sentais nulle
J’éprouvais aussi énormément de culpabilité envers mon jeune cheval. Il n’avait que 4 ans. N’allais-je pas lui faire du mal en le travaillant tous les jours ? Mes séances n’étaient-elles pas trop longues ? Et surtout, comment allais-je faire pour atteindre ce fichu galop 7. C’était impossible et extrêmement décourageant.
STOP
J’ai arrêté de travailler mon cheval.
Et oui, petit à petit, la motivation est partie, me laissant à la place un goût amer de culpabilité et d’incapacité.
Mais je suis aussi une vraie tête de mule. Et j’ai cette capacité en moi de toujours rebondir. Je suis capable de descendre très très bas. Mais c’est pour mieux remonter ensuite.
Je suis restée quelques semaines inactive, à ronger mon frein.
Et puis un beau matin, voici ce que je me suis dit :
Si j’avais un cavalier qui toquait à ma porte un jour avec un niveau galop 3 ou galop 4 en poche et qu’il me demandait de l’amener au niveau galop 7, qu’est-ce que je lui proposerai ?
Au boulot et que ça saute !
Plutôt que d’aller voir mon cheval, je me suis installée à mon bureau. Et j’ai passé des heures et des heures à décortiquer toutes les capacités requises pour les galops 4, 5, 6 et 7. Et à établir une échelle de progression ainsi que d’évaluation. (Je précise pour mes lecteurs hors de France que les Galops sont des examens mis en place par la Fédération Française d’Equitation)
A tel galop, le cavalier devait être capable de …. en respectant tel et tel point clé… et sans faire ceci ou cela.
J’ai ensuite réfléchi à ce programme des galops en me plaçant du point de vue du cheval. Si le cavalier doit savoir changer de pied au planer d’un obstacle, quelles capacités cet objectif demandait-il au cheval ? En terme d’équilibre, de propulsion, de musculature …
Et c’est ainsi que je me suis faite un programme des objectifs sur l’année.
Mais ce n’était pas fini ! J’avais maintenant une vue d’ensemble sur mes objectifs. Restait à trouver des exercices pour atteindre ses objectifs.
Les exos…
J’ai donc acheté pleins de bouquins …Et j‘ai été une nouvelle fois assez déçue. Les exercices étaient compliqués à mettre en place. La plupart demandaient un matériel digne d’une centre équestre, avec une carrière de 30 m x 60 m… Vous savez le genre d’exercices où il faut 14 barres de 4m, 5 barres de 3m, 10 chandeliers, 12 plots …
Et surtout, je passais un temps fou !! Car comme je travaillais seule, il fallait toujours que je descende de cheval, que j’installe le dispositif. Que je remonte à cheval. Puis que je re-descende pour l’adapter à ma progression…
Mes exos …
J’ai donc sélectionné et aussi pas mal inventé les exercices qui me correspondaient.
Voici quels étaient mes critères :
– Ils devaient nécessiter que peu de matériel
– Pouvoir être réalisés dans un espace restreint
– Adaptables à un jeune cheval
– Prendre 30 minutes maxi
– Me permettent de m’auto-évaluer facilement
A cheval au bureau
Au final, je crois pouvoir dire que j’ai dû passé cet année-là un quart de mon temps à mon bureau à chercher des exercices, à les adapter et à les classifier selon une progression et trois quarts de mon temps à les pratiquer avec mon cheval.
Ca peut paraître fou de passer autant de temps assise à mon bureau pour travailler un cheval ! Et pourtant, ça a été diablement efficace car lorsque j’arrivais dans ma petite carrière, j’avais réuni au préalable tout le matériel dont j’avais besoin. Et surtout, je savais EXACTEMENT comment allait se dérouler ma séance :
-
Mon objectif de séance
- L’ échauffement
- Mon exercice avec des variantes, si ça se passait bien ou si l’exercice était trop difficile
- Mes points clés pour m’auto-évaluer
- Ma détente, une fois l’exercice réalisé.
Et j’ai le plaisir de vous annoncer que tout ce travail n’a pas été vain. Car Luis et moi avons eu notre galop 7 !!
Devenir un cavalier chercheur
Depuis, je n’ai pas arrêté de rechercher des exercices, de les tester, de les améliorer … Car un an plus tard, j’ai ouvert mon centre équestre et il a donc fallu que je forme toute ma cavalerie. Et j’avais tellement aimé réaliser ce défi avec Luis que j’ai débourré moi-même TOUS les chevaux de mon centre équestre, en 2007 !!
Ce qui a été le plus intéressant pour moi dans cette méthode, ça a été la MOTIVATION ! Car il est très difficile de travailler un cheval dans la durée. Avoir la satisfaction d’avoir réussi un exercice, même assez court, à chacune de mes séances a été la source de ma motivation et de ma persévérance !
Mon idée : Comment vous aider ?
Vous devez maintenant comprendre pourquoi vos témoignages m’ont tellement touché. Car comme vous, j’ai vécu la difficulté de travailler seule, sans regard extérieur et la frustration de ne pas savoir comment m’y prendre, par où commencer … Avec en plus la pression extérieure ! J’avais rendez-vous avec mes formateurs un an plus tard et je voulais vraiment être au rendez-vous.
Un matin, en lisant un commentaire sur ma page YouTube d’une personne qui me demandait un exercice à la longe, je me suis dit : Mais si je crée une formation, qu’est ce qu’ils vont faire mes lecteurs pendant tous ces mois des attentes ?
Des fiches-outils d’exercices
J’ai donc eu une idée. En attendant, de construire une vraie formation sur plusieurs mois, j’allais vous proposer des fiches outils d’exercices qui seraient un condensé de tous ces exercices que j’ai découvert et que je me suis appropriée ces quinze dernières années.
Par forcément avec un objectif de galop. Ce sont simplement les exercices que j’utilise le plus souvent en tant que cavalière et enseignante.
Et comme j’accorde une attention particulière à la polyvalence de mes chevaux, et de mes cavaliers, je me suis dit que j’allais faire des 10 fiches selon 6 grands thèmes :
- à l’obstacle
- en dressage
- en Terrain varié (ou en extérieur)
- à la longe
- en travail à pied
- en mise en selle
Ce sont en fait mes 60 exercices de base ! Pour moi, un cheval (et le cavalier qui va avec) qui est capable d’effectuer ces 60 exercices est un cheval fiable, bien dans sa tête, musclé et souple, et ce quelle que soit sa discipline.
Qu’en pensez-vous ?
D’après vous, est-ce que ces 6 catégories correspondent à votre travail quotidien ? Voyez-vous une septième catégorie à ajouter ?
Dites-moi tout dans les commentaires !!
Et j’ai aussi trouvé un petit nom à ce set de 60 fiches : Les fiches d’exercices “Dadou s’active”.
Qu’en pensez-vous ? Est ce que le nom vous plaît ?
J’ai tellement hâte d’avoir votre retour ! Je voudrais VRAIMENT que ces fiches répondent à VOS besoins, pour VOUS aider réellement. Et aussi danser mon salon chaque fois que je reçois un email ou un commentaire avec vos progrès 😉
C’est à vous de passer à l’action maintenant et de me laisser dans les commentaires ci-dessous vos avis, vos remarques, vos idées, vos objections. Et surtout, si vous voulez que ces fiches outils voient le jour, j’espère que vous serez suffisamment nombreux à être enthousiasmés pour me donner le courage de me lancer dans ce projet 😉
Un grand merci d’avance,
Aurélie
PS : J’ai mis mes chaussons de danse…
Salut Aurélie,
Je te suis en fait depuis très peu de temps, mais sincèrement je trouve que tout ce que tu fais est génial !!
Je trouve que tes idées sont vraiment supes et cela pourrait vraiment aider beaucoup de personnes qui ne savent pas trop comment s’y prendre (et j’en fait partie…).
Encore merci pour tout ce que tu fais !!
Merci beaucoup 🙂
Tout d’abord un grand MErci Aurelie pour ce beau partage! Propriétaire d’un jeune arabe de 5 ans je me retrouve très souvent « à bidouiller »…mon but étant de toucher à un peu toutes les disciplines….j’attends donc ces fiches avec impatience!
Merci Brigitte de ton commentaire et de ton enthousiasme. J’espère que les fiches outils t’apporteront des idées pour le travail de ton petit Dadou, d’autant que l’arabe c’est vraiment super ! C’est facile, ils sont bons partout ! Le mien a été champion de Normandie d’endurance, il passe partout en rando, enchaîne des beaux parcours d’obstacle, a beaucoup de classe en dressage, joue super bien au horse-ball, génial en TREC …Bref, je l’ai débourré a trois ans, il en a aujourd’hui 15 et il est toujours au top ! A bientôt Aurélie
C’est une super idée qui devrait en aider plus d’un. Même si j’ai la chance d’être supet bien encadrée c’est top de pouvoir avoir une approche différente 🙂
Merci Karine de ton enthousiasme 🙂
C’est vraiment une super idée!
Je suis tombée sur ce site par hasard, mais je ne le regrette vraiment pas! C’est exactement ce que je cherchait en surfant sur le net pour trouver des idées d’exercices avec mes Monstres. C’est vrai que travailler seul est difficile, je fini toujours par faire les mêmes choses, sans réel projet à long terme, ou par partir en balade parce que je n’ai pas d’idée d’exercice…
Avoir accès à des fiches, avec un but précis derrière, ça serait magique!
Merci beaucoup en tout cas d’accepter de nous faire partager tout ce travail de réflexion!
Merci beaucoup Anne Cécile de ton commentaire et de ton enthousiasme…et bienvenue sur le blog, j’espère que tu y trouveras ce que tu cherches. Si jamais tu as des questions ou des idées de vidéos ou d’articles, n’hésites pas à me les mettre en commentaire ! J’y réponds toujours avec plaisir !
Je trouve l’idée géniale! Si elle a fonctionné pour toi, elle fonctionnera pour toutes!
J’ai une jument qui fait de l’anxiété de séparation, y a t’il des exercices dans le lot à cet effet?
Bonjour Josiane, merci de ton commentaire et de ton enthousiasme. Malheureusement, je n’aborde pas dans les fiches outils le cas de la séparation. Mais tu as raison de me poser la question car c’est une problématique récurrente pour les propriétaires de deux chevaux. Même s’il n’y a pas à ma connaissance d’exercices spécifiques pour « lutter » contre cet instinct grégaire, j’utilise moi-même plusieurs petites stratégies pour diminuer l’anxiété. Ca pourrait faire l’objet d’une future publication. Je note l’idée sur ma liste d’article à écrire ! Merci beaucoup 🙂
Bonjour, j’ai une jeune comtoise de 4 ans. Elle est débourrée en monte et en attelage. En attelage on utilise beaucoup les longues rênes pour travailler les chevaux, les musclée, les dressé bref on peut tous faire avec. Je préfère les longues rênes à la longe. C’est sympa l’idée des fiches même si moi je puisse déjà mon inspiration dans celle d’equisense qui sont top à mon goût. Le thème travail en main m’intéresse beaucoup car cela fait 6 long mois que je ne peut monté à cheval à cause de fractures à la cheville.
Madeline
Bonjour Madeline, merci de ton commentaire. Je suis d’accord avec toi sur le travail aux longues rênes et avant de devenir coach de voltige, je les préféraient à la longe. Par contre, je ne pratique pas l’attelage et j’ai déjà discuté avec des meneurs qui avaient une façon très différente de pratiquer les longues rênes. De mon côté, elles m’ont été enseignées par mon instructeur (formé au cadre noir) donc c’est plutôt des longues rênes « dressage » (placement sur le côté et travail sur deux pistes) mais peut être que beaucoup d meneurs les utilisent aussi comme cela. En tout cas merci pour tes encouragement et bon courage pour ta fracture !
Bonjour Aurélie
J’adore ce genre d’idée !
Je m’étais déjà abonnée à wetod je trouvais l’idée top mais pour 30€/mois il n’y avait pas assez de contenu à la grande déception.
J’ai 6 chevaux du 3 ans au 13 ans ! Donc ça m’intéresserait beaucoup ce genre de fiches. Je suis toujours en manque d’idée et avec des vidéos (car je suis qqn qui apprend en regardant les autres)
J’attends avec impatience la suite
Bon courage et merci à vous de ce que vous faites pour nous.
Bonjour Maud et merci beaucoup de tes encouragements ! Si tu aimes particulièrement la vidéo, n’hésites pas à me laisser en commentaire sur ma vidéo youtube de présentation les sujets qui t’intéresse et j’y réponderai en vidéo (si je le peux) ou j’essayerai de trouver la réponse auprès d’autres pro 😉
Bonjour, j’ai une jument trotteuse de réforme de 4.5 ans . Je pensais avoir de l ‘aide pour la travailler mais cela ne se passe pas comme prévu.
Je me retrouve dans votre histoire. J’ai peur et je ne connais rien en équitation. Comble de malheur ma jument s’est faite un fracture de fatigue et déchirure du ligament sésamoïde.
Bref , pour la laisser pieds nus et la laisser récupérer avant d’ajouter une charge (78 kg ) j’ai trouvé une transition c’est de travailler au longues rênes afin de la préparer physiquement et au dressage . Nouveau challenge je ne connais rien pour ce genre de travaille mais je crois que c’est une solution qui pourrais apporter beaucoup en cas de blessure pour nos chevaux et les aider à récupérer. Voilà mon idée pour un 7 thème avant pdt et après la mise en selle ? Frede
Bonjour, merci de ton commentaire ! Oui effectivement, si ta jument ne pas porter pour le moment le travail aux longues rênes peut être une bonne idée. Mais avant cela, le travail tout simplement en main sur une petite longe et puis ensuite sur une grande longe peut être super pour garder un lien et de la complicité, en tenant compte bien sûr de ses capacités et sa pathologie.(tu retrouveras des idées d’exercices dans mon livre de travail à pied, tu peux le télécharger gratuitement) Tu es la deuxième à me parler des longues rênes dans une 7 ième catégorie. Pourquoi pas car je les pratique aussi régulièrement surtout avec ma cavalerie de shetlands que je ne peux pas monter mais qui pourtant doivent être au top pour mes jeunes cavaliers !J’y réfléchis et je vous tient au jus !
Super idée! En lisant cette page, je me suis vue aussi, au milieu de la carrière avec plein d’envie mais au final rien de bien concret qui ressort de la séance … J’ai une jeune jument de 5 ans depuis qq mois et un hongre naviculaire de 18 ans, depuis qq années. Elle a tout à apprendre (mais elle est débourrée donc se débrouille déjà très bien!), lui sait tout faire mais boite! Dans les bouquins je n’arrive pas à trouver des idées d’exercices simples (comme tu le dis qui ne nécessite pas tout un tas de matériel, compliqué à mettre en place) et surtout qui soit progressif. Je ne sais pas par lequel commencer… Super les 6 thèmes, j’en ajouterai peut être un: jeux, tours (différent du travail en main, plus axé sur la détente, lui apprendre des petits tours pour renforcer la complicité, là aussi il est important d’avoir une progression, on ne peut pas commencé par les faire se coucher …). En tout cas, un grand bravo pour ton site et tes idées: j’adore !!!
Merci beaucoup Melisande. Je pense mettre dans la catégorie travail à pied des exercices plus récréatifs ou qui sortent un peu de la carrière , histoire de varier le travail et de tisser une vraie relation complice avec son cheval ( au lieu de toujours monter dessus). Pour ton hongre naviculaire, peut être peux-tu l’aider avec une ferrure orthopédique. Pas dans l’optique forcement de monter dessus mais pour lui offrir du confort sur le travail à pied ou à la longe. En tout cas, merci de ton commentaire !! Et à bientôt
C’est drôle, j’ai connu le même problème quand j’ai eu mon 2ème degré (galop 7) au siècle dernier. A l’époque, il n’y avait même pas de livres dans les librairies pour apprendre à part ceux de Jean d’Orgeix qui m’ont appris des choses mais qui m’ont aussi fait faire beaucoup d’erreurs.
Avec le temps, tout ça devient de l’expérience mais que de temps perdu !
Aujourd’hui, on vit une époque formidable pour acquérir des connaissances et je ne m’en prive pas.
Bonne chance pour ton projet mais j’aurais préféré une formation vidéo complète sur plusieurs mois plutôt que des fiches. Ceci dit, je suis bien placé pour savoir à quel point c’est long et difficile à créer.
Laurent-Progresser avec son cheval
Bonjour Laurent, ça me fait toujours plaisir d’avoir tes commentaires 🙂 Oui, c’est clair que je suis contente de vivre aussi à l’époque d’internet et du partage du savoir ! Je ne me prive pas non plus d’aller chercher des nouvelles connaissances constamment, surtout en voltige où grâce aux vidéos j’ai toujours pleins de nouvelles idées pour les chorégraphies de mes voltigeurs !
Merci pour tes encouragements sur mon projet. C’est excitant de voir tous les commentaires depuis ce matin. Et je n’exclut pas de faire une formation vidéo dans l’avenir car comme tu le sait j’adooore faire des vidéos ! Mais avec mon centre équestre à gérer à pleins temps, il faut être réaliste et avancer petit pas à petit pas. Merci Laurent et à bientôt.
Bonjour ! J’ai été super contente de lire cet article! J’ai vraiment hâte d’avoir les petites fiches « Dadou s’active »! Bien que mon cheval prenne de l’âge, il aime encore être travaillé et c’est vrai que je tourne aussi en rond (je l’avais dit dans le sondage!)…on ne sait jamais quoi faire et quoi faire d’intere Pour le cheval, que lui aussi prenne du plaisir et que ce soit varié!
J’ai hâte de lire tout ça chère Aurelie !
Bises Margot, une lectrice de Franche-Comté
Bonjour Margot, j’aime bien ton commentaire « tu tourne en rond » pour un cavalier dans le manège c’est le comble, joli jeu de mot, je n’y avais pas pensé 🙂 Merci pour tes encouragements sur mes fiches outils et encore une fois merci de t’être impliquée dans mon sondage !! …du coup, si c’est fiches outils voient le jour…ça sera un peu grâce à toi 😉
Ouiiii. L’idée est juste top. Travailler son cheval sans savoir comment lui faire comprendre ce que l’on veut c’est plus que frustrant. Ce serait juste top d’avoir un fil conducteur pour faire ce travail dans le bon sens et créer cette relation avec notre doudou. J’ai hâte de voir ça. Merci pour cet outil, c’est vraiment génial quand on travail seule.
Super Merci Céline (ps : tu as battu le record du nombre de i dans oui 😉 Le but des fiches outils seraient complètement ça, se constituer une sorte de mallette à exercices. Quand tu as un besoin d’un outil, tu ouvres ta mallette, tu sors celui qu’il te faut…et tu l’appliques ! Pour ne plus jamais arriver dans sa carrière sans idées ..et sans motivation !
Bonjour Aurélie ! Je trouve l’idée très intéressante et je serai très heureuse de profiter de ces « fiches ». Par contre, pour ne pas se retrouver dans la même situation de ‘bidouille élaborée’ (disons) je pense qu’il faudrait également un mode d’emploi à ces fiches. Pour être plus précise: une espèce d’index qui permettrait d’aller chercher les bons exercices, et de les organiser sur une durée intelligente (1 mois, 3 mois, 1 an) pour arriver à un objectif personnel. Parce qu’on a tous des problèmes différents, même si on bidouille tous haha ! J’espère que c’était relativement clair. Et encore merci pour tout ça 🙂
Bonjour Anna, merci de ton commentaire. Tu as raison, une sorte de guide sur « comment utiliser les fiches outils » serait pas mal pour aider l’utilisateur à s’y retrouver. Ou avec un onglet » pré-recquis ou compétences à avoir pour faire cet exercice ». C’est une bonne idée, je la note !! Merci merci !
Génial c’est tout a fait ca. Je bidouille, j’ai du mal à visualiser ce que je veux faire, du coup mon pauvre jeune poney ne peut pas comprendre. Juste GÉNIAL l’idée des fiches. Bravo
Bonjour Christelle, merci pour ton commentaire. Quand je lis tous les commentaires depuis ce matin, je me dit que je ne suis pas la seule à avoir la bidouille facile ! Merci beaucoup de tes encouragements et je vous tiens au courant de la suite 😉
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